Le principe de ce type de station est très simple : on utilise les capacités des roseaux à filtrer l’eau, chose qui se produit naturellement aux bords des lacs et des étangs. Les travaux commencés en septembre 2015 ont duré 6 mois. Le réseau est constitué de 2 100 m de tuyaux, 70 branchements et 3 postes de refoulement, pour un coût de 1 068 000 euros TTC.